Conception, suivi et animation d'un site web associatif


ANNEXES

Annexe 1 - Comment marche l'Internet ?

• 1 - Qu'est-ce que l'Internet ?

• 2 - Comment ça fonctionne

• 3 - Les câbles

• 4 - Coûts

• 5 - Les services de l'Internet

Annexe 2 - Qui fait quoi dans l'Internet ?

Annexe 3 - Ergonomie sur le web

Annexe 4 - Document de conception-réalisation de ce site

Annexe 5 - Accès des sites web aux handicapés


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Annexe 1
Comment marche l'Internet

Cette annexe, rédigée par Stéphane Bortzmeyer, contient des informations assez techniques. Son but n'est pas de vous transformer en informaticien, ni de vous parler de toutes les techniques utilisées sur Internet. Il s'agit au contraire de faire comprendre en quoi la technique actuelle influe sur le travail du webmestre. Si un rédacteur en chef n'a pas besoin d'être aussi imprimeur, il doit en revanche comprendre les contraintes techniques de ce dernier, de façon à ne pas lui demander des choses impossibles.

Cette annexe décrit l'Internet comme un réseau d'ordinateurs. Elle se focalisera sur la technique. L'annexe suivante décrira l'Internet comme un ensemble d'organisations qui le gèrent.

1 - Qu'est-ce que l'Internet ?

L'Internet est physiquement composé des millions d'ordinateurs qui y sont connectés, des matériels d'interconnexion et des câbles qui les relient.

Ces ordinateurs sont très différents les uns des autres, aussi bien du point de vue matériel que logiciel.

Le matériel comporte de banals PC (micro-ordianteurs), comme celui sur lequel a été tapé ce texte, et d'énormes machines, comme celle qui héberge le moteur de recherche AltaVista, dont le prix les met hors de portée de toute association. Mais la différence n'est que quantitative : tous ont un égal accès à l'Internet et il n'y a pas moyen de connaître le prix d'une machine à distance... Répétons-le : il n'y a pas de différence qualitative entre les machines serveuses et votre machine de bureau. Et, même du point de vue quantitatif, le serveur web que vous consultez est probablement hébergé sur une machine plus petite que votre PC multimédia dernier cri.

La plus grosse différence entre ces ordinateurs est logicielle : ils fonctionnent avec des systèmes d'exploitation différents. Le système d'exploitation est le logiciel de base de l'ordinateur. C'est lui, bien plus que le matériel, qui détermine le comportement de la machine. Le PC sur lequel cette annexe a été écrite utilise le système d'exploitation Linux. Cela a beau être un PC, un habitué du système d'exploitation MS-Windows serait bien surpris et aurait sans doute du mal à s'en servir. Le matériel, en fait, n'est qu'une caisse et l'utilisateur interagit avec du logiciel, ce qui est la chose importante. Répétons le, un Macintosh utilisant Linux ressemblera beaucoup plus à un PC avec Linux qu'à un autre Macintosh dont le système d'exploitation est le MacOS d'Apple.

En plus du système d'exploitation, logiciel de base utilisé par la machine, tout ordinateur a un grand nombre de logiciels d'application, ceux qui vont servir au travail quotidien : traitement de textes, éditeur de textes, vérificateur de pages web, logiciel de dessin, etc. Il existe une encore plus grande variété de ces logiciels que celle qui règne en matière de systèmes d'exploitation.

D'où la première règle, imposée par cette variété : ne considérez pas comme acquis que vos correspondants sur Internet ont le même logiciel que vous. On reçoit souvent des documents par courrier électronique. Certaines personnes, semblables au touriste états-unien qui s'étonne que tout le monde ne parle pas anglais partout, envoient des documents spécifiques d'un logiciel particulier, ou même d'une version particulière d'un logiciel. Si vous voulez maximiser vos chances d'être lu, ne faites pas cela : tenez-vous en aux normes communes à toutes les machines de l'Internet (1). Ce n'est pas parce que vous avez MS-Word version 2000 que vos correspondants auront fait le même choix d'équipement.

Les ordinateurs ne sont pas tout : d'abord, outre votre machine de bureau, la seule que vous voyiez, de nombreux autres ordinateurs concourent à ce que l'Internet marche. Il y a le serveur web, sur lequel vos fichiers sont hébergés (et les logiciels qui tournent sur ces machines sont en général très différents de ceux que vous avez sur votre micro-ordinateur), il y a les serveurs de noms de domaine, et il y a des machines plus éloignées encore de la vôtre comme les routeurs, qui sont les postes d'aiguillage de l'Internet, les machines où se prend la décision d'envoyer des données par une route plutôt que par une autre. Quoique invisibles, ils sont indispensables, et les performances de l'Internet dépendent beaucoup d'eux.

Là encore, ces machines si discrètes que vous n'avez pas conscience de leur présence, forment l'infrastucture de l'Internet.

Les câbles qui les relient feront l'objet de la section 3.

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2 - Comment ça fonctionne

La plupart (mais pas tous) des services de l'Internet fonctionnent en mode client-serveur. Cela veut simplement dire qu'un des ordinateurs possède les informations, elles sont stockées sur ses disques, et que l'autre va les lui demander. Le serveur est celui qui possède les informations. Il attend des clients et, comme ceux-ci peuvent arriver n'importe quand, le serveur est typiquement une machine allumée 24 heures sur 24. Le client est couramment votre machine de bureau : au moment que vous décidez, votre ordinateur va aller chercher des informations sur le serveur.

Notez que, dans le cas du web, une même machine serveuse peut héberger de très nombreux sites.

Pour que le transfert d'informations du serveur au client se fasse bien, il faut deux choses : que le client connaisse l'adresse du serveur, pour savoir où demander, parmi les milliers de machines connectées, et que le serveur et le client parlent un langage commun, ce que l'on nomme un protocole.

Les adresses sont utilisées partout dans les réseaux (et pas seulement dans les réseaux informatiques, un numéro de téléphone est un exemple d'adresse). Dans l'Internet, vous avez un type d'adresse par service utilisé. Par exemple, pour le web, les adresses se nomment des URL (Universal Resource Locator, ce qui veut dire à peu près adresse universelle d'une ressource) et ont l'allure suivante :

http://www.globenet.org/RLF/

Vous n'êtes pas obligé de comprendre cette adresse. Comme un numéro de téléphone, vous êtes juste obligé de la taper sans erreur, notamment en respectant la différence majuscules/minuscules. Mais, si vous voulez la décoder, notez simplement que le premier champ (les lettres avant le :) désigne le protocole, c'est-à-dire le langage informatique à utiliser entre les deux machines (il en existe d'autres que HTTP), le deuxième champ (entre les // et le premier / isolé) est le nom de la machine serveuse et le reste de l'adresse désigne un fichier ou dossier précis sur un serveur qui peut en comporter beaucoup.

Ceci ne concernait que le web : les adresses du courrier électronique sont différentes, ce qui est normal puisqu'il s'agit d'un service très différent, aussi bien dans ses concepts que dans son utilisation. Elles ressemblent à :

bortzmeyer@ras.eu.org

où le premier champ (à gauche du @) est en général le nom du destinataire (cela peut être un pseudonyme ou des initiales) et le deuxième champ (à droite du @) est un domaine.

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3 - Les câbles

Tous ces ordinateurs sont reliés par des câbles, eux aussi très variés. Vous avez peut-être entendu des affirmations de type yakafokon comme "Pour surfer plus vite sur le Net, il faudrait plus de fibres optiques". En réalité, le problème du débit des tuyaux est bien plus complexe que cela.

D'abord, éliminons quelques erreurs de vocabulaire : je n'utiliserai pas le mot "vitesse" car il est trop flou. Pour l'utilisateur de l'Internet, il y a deux choses importantes quand on parle de performances : la latence et le débit. La première est le temps que mettent les données à voyager. Le second est la quantité de données qui peuvent passer en même temps. Pour prendre une comparaison automobile, un scooter a certainement une meilleure latence qu'un camion dans les rues de Paris (il arrivera avant le camion) mais le camion a un meilleur débit (un déménagement avec le camion prendra moins de temps).

Le facteur essentiel qui gouverne la latence est la longueur du "câble". Une liaison satellite a en général une mauvaise latence car la plupart des satellites de télécommunication sont installés sur l'orbite géostationnaire, qui est loin de la Terre. C'est pour cela que les liaisons transatlantiques sont en général faites par des câbles sous-marins.

Pour un serveur web, c'est en général le débit qui est le plus important.

Le facteur essentiel qui gouverne le débit est la rapidité de modulation de l'émetteur, c'est-à-dire la capacité de l'émetteur à émettre beaucoup de bits en peu de temps. Cette capacité dépend assez peu du câble (encore qu'un câble de qualité insuffisante puisse empêcher de tirer parti d'un émetteur rapide). C'est ainsi que les mêmes câbles du téléphone peuvent faire passer les 14 kilobits par seconde d'un modem bas de gamme ou le débit mille fois supérieur de la technique ADSL (2). On voit que la fibre optique n'est nullement nécessaire.

Je viens de parler de kilobits par seconde. C'est l'unité de débit (l'unité de latence étant la seconde). Plus ce chiffre est élevé, plus vous faites passer d'informations par seconde. Une image typique d'une page web fait entre 10 et 40 kilo-octets (les informaticiens et les gens des télécoms n'utilisent pas les mêmes unités : un octet égal huit bits, donc une image web pèse entre 80 et 320 kilobits (3). Une page web typique, sans les éventuelles images, fait entre 1 et 2 kilo-octets (4).

Du côté des gros, une image à qualité suffisante pour être imprimée atteint facilement 1 méga-octet (1024 kilo-octets). L'intégralité de la Bible, Ancien et Nouveau Testaments, prend, après compression, à peu près la même taille. Cela veut dire qu'avec le modem à 14 kilobits par seconde ci-dessus, on fera passer la Bible en 8000/14 = moins de dix minutes. Si on télécharge la Bible, on est en général prêt à patienter un peu. Mais, quand on attend une page web, on supporte beaucoup moins une attente, ne serait-ce que de sept ou huit secondes (chronométrez, vous verrez à quel point huit secondes sont longues devant son écran). Dans ce temps, avec le même modem, on peut faire passer 14 kilo-octets, ce qui fait une page moyenne avec une ou deux très petites images.

Enfin, le son ou la vidéo consomment tellement de débit qu'il s'agit d'un véritable gaspillage des ressources du réseau. Dans ce domaine, la notion de développement durable ne s'est pas encore imposée.

Donnons quelques valeurs typiques de débit. Un modem courant débite entre 25 et 30 kilobits par seconde, selon l'état de la ligne téléphonique (il ne sert à rien d'avoir un modem rapide sur une mauvaise ligne, un problème que les Africains connaissent bien). Une ligne spécialisée (donc permanente) Transfix va entre 64 kilobits par seconde et 2 mégabits par seconde. Un réseau local à technologie Ethernet, comme il y a sans doute dans votre entreprise ou votre université, va à 10 mégabits par seconde, et à 100 dans ses versions récentes. Les grands câbles transatlantiques ont un débit de plusieurs gigabits par seconde, mais partagé entre beaucoup d'utilisateurs (5)

C'est là en effet la plus grande escroquerie qui accompagne les discours des fournisseurs d'accès ou d'hébergement sur les performances : faire croire que le débit du dernier lien, celui qui arrive sur le bureau de l'utilisateur, est le plus important. En réalité, le goulet d'étranglement est bien souvent ailleurs. Les grandes lignes entre opérateurs de télécommunication ont effectivement un très fort débit, mais elles sont aussi très sollicitées. Imaginez un fournisseur d'accès ayant cent cinquante abonnés connectés simultanément, grâce à ses batteries de modems. S'il a un débit total de 2 mégabits par seconde dans les lignes le connectant à l'extérieur, chaque abonné ne disposera que de la vitesse d'un médiocre modem (6), puisqu'ils se partagent le débit. Vu le taux de partage régulièrement pratiqué, on comprend qu'aucun fournisseur d'accès n'annonce ces chiffres.

C'est encore plus vrai si vous passez par les lignes internationales. Si vous regardez un site web hébergé au Japon, le débit pratique dont vous disposez, pour vous tout seul, est très inférieur à celui du plus lent modem. Croire que passer d'une technologie modem à une technologie, disons, ADSL, accélérera vos consultations est erroné. Croire que votre site est assez rapide, s'il peut être consulté avec un modem à 28 kilobits par seconde, est dangereux : si vous avez des lecteurs lointains, quelle que soit la sophistication de leur équipement, ils ne pourront pas avoir un tel débit.

Ce partage varie en outre dans le temps. Combien d'utilisateurs, convaincus par le discours commercial d'un nouvel opérateur ("Chez nous, cela va bien plus vite") ont pris un nouvel abonnement, constaté effectivement que cela marchait mieux, pour se retrouver, trois mois plus tard, aux mêmes débits qu'avant, lorsque beaucoup d'autres ont été convaincus, qui vont utiliser les mêmes lignes qu'eux.

Résumons cette section : le débit à prendre en compte est celui du plus faible maillon de la chaîne. Rien ne sert de courir sur une portion du trajet, s'il y a des obstacles sur une autre.

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4 - Coûts

Les coûts de toute cette infrastructure sont supportés par les opérateurs, qui vous les refacturent.

Lorsque vous prenez un abonnement simple, vous payez en général votre ordinateur et votre modem (l'équipement qui sert à connecter un ordinateur au réseau téléphonique), ainsi qu'un abonnement, en général forfaitaire, à votre fournisseur d'accès Internet. En outre, vous payez les communications téléphoniques pour joindre ledit fournisseur. Du point de vue du réseau téléphonique, ce sont des communications ordinaires. Si votre fournisseur est proche géographiquement, vous payez en communication locale.

Il existe d'autres modes de facturation. Par exemple, les abonnements au câble TV sont typiquement entièrement forfaitaires, puisqu'il n'y a pas de coût de communication téléphonique.

Si vous payez un fournisseur d'hébergement pour votre site web, le système est en général le même : un coût d'installation, puis un coût mensuel, qui lui servent à payer ses machines, ses câbles et son personnel.

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5 - Les services de l'Internet

Il est fréquent d'entendre mélanger le web avec l'ensemble de l'Internet. Mais le web n'est qu'un des nombreux services de l'Internet. C'est un des plus récents mais, comme il est le plus spectaculaire, il est le seul que l'on montre aux ministres lors des démonstrations officielles. Les autres services se prêtent en général moins bien au spectacle.

Le web est le service de distribution de documents depuis une source, le serveur, vers de nombreux clients. Il est donc proche des médias traditionnels (une source arrose de nombreux lecteurs passifs), ce qui le rend plus familier.

Le courrier électronique est sans doute l'application la plus utilisée avec le web. Ce service permet à deux personnes de s'échanger des informations, mais, contrairement au téléphone, il a connu beaucoup d'extensions pour aller au-delà de la simple communication à deux.

Dans le courrier électronique, vous envoyez des documents (presque toujours du texte seul, mais ce n'est pas une obligation ; toutefois, cela simplifie beaucoup les problèmes de compatibilité avec la machine de votre correspondant) à une ou plusieurs adresses. Derrière ces adresses, on trouve en général une seule personne, mais on peut aussi avoir plusieurs personnes, qui recevront toutes le message.

Le courrier électronique, contrairement au téléphone, ne nécessite pas de présence simultanée. Il est donc moins dérangeant et il est la seule solution réaliste en cas de décalage horaire ou simplement de présences décalées (ce qui est fréquent dans le monde associatif, où tout le monde n'est pas permanent de son association). En outre, il permet d'envoyer des documents que chacun pourra retravailler sur son ordinateur, permettant un vrai travail en commun. C'est donc un outil de bureautique ordinaire, comme le traitement de texte.

Le courrier permet également la création de listes : une liste est une adresse derrière laquelle se trouvent plusieurs personnes. Il existe de nombreuses applications des listes. Pour une association, cela permet par exemple d'annoncer à l'extérieur une seule adresse officielle, alors que le courrier qui y sera reçu sera transmis à plusieurs personnes, facilitant la circulation de l'information et augmentant les chances que quelqu'un puisse répondre. Une autre application courante des listes est la liste de discussion. L'abonnement à cette liste est souvent fait par un logiciel : on lui envoie un message par courrier et il vous inscrit automatiquement. Ensuite, on recevra tous les messages destinés à la liste. Il existe des listes sur d'innombrables sujets, certaines de pure discussion (cafeducommerce@fai.fr), d'autres de travail (personnes impliquées dans le même projet, par exemple l'organisation d'une manifestation internationale (7).

Les listes (de diffusion, de discussion, de travail) peuvent jouer un rôle important dans l'activité d'une association. Ce rôle est souvent sous-estimé car elles ne sont pas très spectaculaires.

Pour faire héberger votre liste de diffusion, trois solutions :

  • si la liste est très petite (quelques dizaines d'abonnés, deux ou trois messages par jour), vous pouvez parfois l'héberger sur votre machine, avec des techniques plus ou moins artisanales. Ne sous-estimez pas le travail technique que cela représente : beaucoup de choses peuvent aller mal pendant le fonctionnement d'une liste ;
  • vous pouvez faire héberger votre liste chez un fournisseur payant. Les fournisseurs commerciaux proposent très rarement ce service et souvent à des prix exhorbitants. En revanche, vue l'importance des listes pour le monde associatif, tous les fournisseurs non-marchands ont cette offre à leur catalogue ;
  • vous pouvez vous faire héberger chez un fournisseur commercial gratuit. Attention : vous perdez pratiquement tout contrôle sur la liste. Lisez bien le contrat : l'hébergeur peut faire ce qu'il veut de la liste des abonnés, peut rajouter de la pub quant ça lui chante, peut parfois faire ce qu'il veut des messages échangés, etc. En outre, de tels fournisseurs sont souvent situés dans des pays qui n'offrent aucune protection de type "Loi Informatique et Libertés". A méditer avant de leur confier vos fichiers !

L'Internet permet également le transfert de gros fichiers (par le protocole FTP), comme la Bible dont j'ai parlé plus haut. Il n'y a pas de distinction nette entre ce service et le web. Cela peut permettre, par exemple, de distribuer facilement de gros textes en cours de relecture, ou bien des logiciels (la plupart des logiciels libres sont surtout distribués ainsi).

Les News (appelées souvent du nom du réseau virtuel Usenet) sont un service de conférences électroniques. Elles ressemblent aux listes de discussion, mais avec des techniques différentes. En général, les News sont plus ouvertes, moins orientées vers les tâches concrètes. Dans les domaines techniques, les listes et les News sont un très puissant outil de formation permanente et de veille technologique.

Enfin, il existe d'innombrables autres services : des plus techniques (synchronisation automatique des horloges de différentes machines, pour qu'elles affichent la même heure) aux plus animés (les systèmes de conversation en direct comme l'IRC - Internet Relay Chat) en passant par les plus ludiques (les jeux vidéo en réseau où l'on massacre les monstres à plusieurs).

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Complétez cette section :

- Voyez l'annexe 2 pour les explications sur, entre autre, les noms de domaine et les opérateurs.


Notes

(1) Enregistrez une version de votre document, à partir de votre logiciel de traitement de textes, au format "Texte seul", et envoyez cette version.

(2) Assymetric Digital Subscriber Line, actuellement encore peu déployée.

(3) Pour aggraver les choses, les anglophones disent souvent "byte" pour un octet, ce que l'on confond facilement avec "bit", surtout en notation abrégée.

(4) La moitié étant facilement prise par les balises HTML. Il existe des programmes qui permettent de mesurer facilement la taille totale d'une page (en comptant les images, les "frames", etc.), même si celle-ci est sur un serveur web distant. Par exemple, le logiciel Delambre :

http://delambre.sourceforge.net

(5) Rappel : un kilobit égale mille bits, un mégabit égale un million de bits et un gigabit égale un milliard de bits. Mais un kilo-octect égale 1024 octets.

(6) D'autant plus qu'aux clients par modem s'ajoutent souvent d'autres clients par lignes plus rapides et les sites Web hébergés.

(7) C'est ainsi qu'ont été organisées les Marches européennes contre le chômage (qui eurent lieu au printemps 97), le budget des associations de chômeurs excluant toute coordination par téléphone ou même par fax.

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"Conception, suivi et animation d'un site web associatif" - Eve Demazière - Décembre 1999 - eve@internatif.org
http://www.internatif.org/eve/serveurs/an1.html - Mis à jour : Samedi 21 juillet 2001